Principalement, la notion d’interaction qui est au coeur de cette science. Elle nous situe dans un grand tout de matière. Dans ce postulat, l’écologie, l’empathie, la bienveillance ne sont plus des options d’un forfait de la bonne conscience. Ils deviennent des faits, des évidences qui s’imposent d’elles-mêmes puisque nous sommes le même grand ensemble. Il recherche des moyens de montrer l’immensité de ces interactions en explorant les limites de nos perceptions. L’air, l’eau, la lumière et le temps sont ses médias. Il les utilise comme des révélateurs de ce qui se passe en marge de nos sens.
Sa démarche est low tech et post numérique, elle se situe dans une écologie où les matériaux sont proches de leur fonction, où le processus de fabrication fait partie de la recherche. La technicité est devenue omniprésente dans notre société. Restituer l’étonnement et la magie des phénomènes naturels nous replaçant ainsi dans un tout, où le vide n’est pas rien, le temps universel n’existe pas.